« La majorité des b-girls (danseuse de break danse, ndlr) que je connais sont des survivantes. Tu fais toujours partie d’une minorité, si tu tiens bon- tu deviens une survivante. (…) Les mouvements sont durs à apprendre, donc si tu es toujours dans le Break (Hip Hop au sol, ndlr), c’est que tu es une survivante. J’ai commencé à breaker parce que j’ai toujours pensé que le Break était quelque chose de magique – quelque chose de non-humain (…) Quelque chose pour les super héros » confie Aruna, de Freezone, à Rotterdam aux Pays Bas.
Danseuse Hip Hop, je pourrais me reconnaître dans ces mots d’Aruna, mais finalement toute femme pourrait sûrement se reconnaître dans le mot de « survivante »...
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