Les résultats sont les suivants. Les premiers rangs dans la structure du pouvoir sont occupés surtout par les hommes; au terme d'un long processus, il y a émergence de deux jeunes femmes comme leaders dans leurs groupes; un plus grand pouvoir d'expert est attribué aux hommes; peu de différences significatives apparaissent entre les stratégies utilisées par les femmes et par les hommes; enfin, il y a quasi-absence de liens entre pouvoir de référence et stratégies d'influence. Les résultats sont interprétés à partir d'un cadre théorique et épistémologique féministe et permettent de remettre en cause le modèle théorique du leadership complémentaire (instrumental et socio-émotif) de Bales.
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